Les sociétés dites « modernes » sont pour la plupart dans un déni conventionnel, par un formatage qui consiste à considérer que ce que l’on peut appeler entités, fantômes, esprits, etc… n’existe pas.
Ainsi, nier la question est en l’occurrence le moyen le plus simple de ne pas se la poser.
Cependant, il y a des cas (lourds certaines fois) où éluder le sujet n’est pas une porte de sortie suffisante. Les interférences des entités avec nous peuvent être de nature et d’ampleur différentes, et voici pourquoi :
Il faut bien se rendre à l’évidence qu’une de nos composantes au moins subsiste après la mort physique. On l’ appelle l’âme, l’esprit, la conscience…
Par ailleurs, la notion de réincarnation n’est pas qu’un concept asiatique. La Bible en faisait état avant d’en être censurée pour s’aligner sur le schéma « incontournable » : enfer, purgatoire ou paradis.
Les consciences un tant soit peu évoluées quittent notre plan matériel après le décès, mais nombreuses sont celles qui y restent. Ainsi, nous les côtoyons le plus souvent sans même nous en rendre compte.
On ne peut pas se rendre dans un ailleurs si l’on a pas l’ouverture nécessaire pour accepter la probabilité de cet « ailleurs ».
Les entités: présence et manifestations
Au niveau des lieux
Les entités ne se trouvent pas uniquement dans les châteaux écossais, il peut y en avoir un peu partout.
Dans les bars par exemple, on trouve souvent d’anciens alcooliques. Ils se maintiennent ainsi dans ce qui a été leur milieu préféré durant leur incarnation. D’autres restent dans ce qui a été leur maison, certaines fois sans même avoir conscience de ne plus être incarnées.
On en trouve ainsi qui proclament : « c’est chez moi ici, c’est ma maison, je veux que ces gens s’en aillent » en parlant des occupants actuels. Dans ce cas là il y a souvent de l’animosité de leur part à l’égard des personnes qui vivent là.
Ce qui se traduit par des problèmes divers et souvent « inexpliqués ». Voire même par des phénomènes visuels ou auditifs parfois violents.
D’une façon générale, les entités n’ont souvent aucune intention de nuire,. Mais leur seule présence est très négative. En effet, elle maintient un taux vibratoire énergétique du lieu à un niveau très bas. Ce qui est malsain pour nous car cela favorise les problèmes et les conflits dans tous les domaines.
Certaines restent là où elles sont »mortes », d’autres dans un lieu qu’elles aimaient beaucoup. D’autres encore là où le corps a été enterré. Et donc bien sûr il y en a dans tous les cimetières. J’en ai trouvé un jour près du Rhône qui étaient désincarnées depuis 6000 mille ans … Il faut dire que le facteur temporel n’existe plus pour elles.
Le travail de dégagement d’une entité va donc consister en grande partie à lui transmettre des informations. Cela va concerner sa condition et le devenir des humains de façon générale après leur désincarnation, avant de procéder à l’accompagnement lui-même.
C’est relativement simple lorsqu’on a affaire a une entité »lambda », plus compliqué lorsqu’elle est là dans un but bien précis, mais ça c’est le problème de l’intervenant.
Au niveau des personnes
L’intervention est globalement du même ordre. A la différence près que la présence de l’entité peut être liée à une raison ou à une motivation spécifique à la personne concernée.
Par exemple, une entité peut très bien avoir « retrouvé » quelqu’un qui lui a nui lourdement dans une incarnation précédente avec l’intention de le lui faire payer. Dans ce cas la présence permanente de l’entité auprès de cette personne va s’avérer particulièrement nocive pour elle. Dans d’autres cas, certains individus naissent avec dans leurs composantes la conscience d’un frère ou d’une sœur qui aurait dû naître avant, mais dont la vie physique s’est arrêtée (fausse couche) ou a été interrompue (IVG).
Il faut savoir que la conscience intègre la matière dès le moment de la conception, de façon infinitésimale certes, mais la fusion est déjà amorcée. Et elle va évoluer très progressivement jusqu’à un point de non-retour. Lorsqu’il y a dissociation, la conscience retourne dans presque tous les cas là d’où elle est venue, mais pas toujours.
Par ailleurs, ceux qui s’amusent à pratiquer du spiritisme « de cuisine » attirent vers eux des entités de bas étage. Et c’est rarement sans conséquences négatives pour eux. Avec des consciences de ce niveau, on a généralement droit à du mensonge, de la tromperie et surtout de l’usurpation d’identité : (« je suis ta grand-mère, ou Napoléon… »).
Outre les motivations de l’entité, sa nocivité dépend aussi de sa « puissance ».
Certaines d’entre elles paraissent plus évoluées en quelque sorte, et sont en mesure d’utiliser le potentiel énergétique de certaines personnes. Notre corps physique est complété par des corps subtils qui assurent entre autres un rôle de protection. Mais ils sont certaines fois lésés par des événements négatifs lourds.
Ce qui nous rend fragilisés et accessibles aux entités avides de notre potentiel énergétique.
Lorsque ce n’est pas le cas, l’entité est alors simplement « collée » à la personne.
Un peu comme un poisson-pilote près d’un squale, à la différence près que son but est de bénéficier de l’énergie vitale de la personne.
La présence d’une entité auprès de quelqu’un n’est pas toujours permanente. Elle peut être occasionnelle notamment lorsqu’il s’agit d’une entité du plan astral et donc plus puissante que celles du plan matériel.
C’est généralement pendant notre sommeil que cela se produit. En effet, nous sommes plus vulnérables puisque notre conscient est en veille. Les symptômes sont toujours les mêmes : grande peur, impossibilité de parler et de crier, voire même de respirer, paralysie… C’est ce que la médecine appelle une « attaque d’anxiété »…
Enfin, l’influence d’une entité sur une personne peut avoir des degrés divers.
Dans tous les cas, son taux vibratoire est très bas. Ce qui se traduit par une grande fatigue sur le plan physique et mental, avec des idées noires sans raison particulière, des troubles du sommeil avec des cauchemars fréquents.
Ce parasitage va altérer la personnalité de l’individu de façon plus ou moins marquée selon sa vulnérabilité et selon la « puissance » de l’entité. Dans les cas extrêmes, il s’agit alors de ce que l’on appelle une possession, c’est à dire la main-mise quasi permanente de l’entité sur la personne.
C’est dans ce type de situations que sont pratiqués ce qu’on appelle les exorcismes, niveaux les plus intenses d’intervention.
Il est d’ailleurs intéressant de relever dans les faits divers les cas d’individus qui, après avoir trucidé toute leur famille sans mobile apparent. Ils déclarent : « Je ne sais pas, ça n’était pas moi ». Je suis pour ma part persuadé qu’effectivement ils disent vrai. Mais cela remet en cause leur responsabilité morale et surtout pénale… ce qui est une autre histoire.
La voie de garage la plus utilisée consiste alors à les déclarer irresponsables parce que psychopathes… Par ailleurs, comment expliquer que des individus sans capacités particulières comme Hitler ou Staline soient arrivés à une pareille puissance destructrice, si ce n’est par le fait qu’ils étaient le jouet d’entités négatives du plus haut niveau ?
J’en suis pour ma part convaincu.